Travailler ensemble au rétablissement du caribou boréal
Environnement Canada consulte actuellement la population canadienne afin de recueillir des renseignements en vue d’élaborer un programme national de rétablissement du caribou boréal au Canada. Nous comptons sur votre participation.
TABLE DES MATIÈRES
- Le caribou boréal, une espèce en péril
- Les responsabilités quant au caribou boréal
- Qu’est-ce que la Loi sur les espèces en péril?
- Le programme de rétablissement du caribou boréal
- De quel caribou s’agit-il?
- Description du caribou boréal
- Où trouve-t-on le caribou boréal?
- Les besoins en matière d’habitat du caribou boréal
- Quelles sont les menaces qui pèsent sur le caribou boréal et son habitat?
- Les objectifs en matière de population et de répartition pour le caribou boréal
- Qu’est-ce qu’une population autosuffisante?
- L’habitat essentiel du caribou boréal
- Travailler ensemble au rétablissement du caribou boréal
- POUR OBTENIR PLUS DE RENSEIGNEMENTS SUR LE CARIBOU BORÉAL AU CANADA
Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives Canada
Travailler ensemble au rétablissement du caribou boréal [ressource électronique]
Publ. aussi en anglais sous le titre : Working together to recover boreal caribou.
Genre de fichier informatique : Monographie électronique en format PDF.
ISBN 978-1-100-93574-4
No de cat.: En14-16/2010F-PDF
1. Caribou des bois--Canada. 2. Faune--Rétablissement--Canada. 3. Caribou des bois--Habitat--Canada. I. Canada. Environnement Canada
QL737 U55 W6714 2010 333.95’9658 C2010-980035-4
Le caribou des bois (population boréale) était inscrit sur la liste comme espèce menacée au Canada lorsque la Loi sur les espèces en péril (LEP) est entrée en vigueur en juin 2003. L’inscription de l’espèce avait été fondée sur une évaluation préparée en 2002 par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC). Le caribou boréal a été évalué comme espèce menacée parce que les populations ont subi un déclin dans la quasi-totalité de leur aire de répartition et parce qu’elles sont menacées par la perte de leur habitat et l’augmentation de la prédation (phénomène possiblement aggravé par l’activité humaine).
Le caribou boréal
Le caribou des bois (population boréale) et le caribou boréal sont deux noms qui font référence au même animal. Dans le présent document, nous avons choisi d’utiliser « caribou boréal » pour faciliter la lecture. Le caribou boréal est aussi connu sous le nom de caribou forestier au Québec.
Au Canada, la conservation des espèces en péril relève conjointement des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. Les provinces et les territoires sont responsables de la plupart des espèces sauvages (y compris le caribou boréal) et de la gestion des terres provinciales et territoriales dont bon nombre d’espèces en péril dépendent. Le gouvernement fédéral est directement responsable des espèces aquatiques, des oiseaux migrateurs, ainsi que des espèces présentes sur le territoire domanial, comme les parcs nationaux. La conservation des espèces en péril nécessite donc une approche concertée qui permet de coordonner les responsabilités et les activités entre toutes les compétences.
La Loi sur les espèces en péril est une loi fédérale qui protège les plantes et les animaux sauvages menacés de disparaître du Canada. Elle poursuit trois objectifs :
prévenir la disparition des espèces sauvages du Canada;
rétablir les espèces en péril;
gérer les espèces préoccupantes pour éviter qu’elles ne deviennent des espèces en voie de disparition ou menacées.
En vertu de la LEP, un programme national de rétablissement doit être préparé pour chaque espèce menacée. Le programme de rétablissement est un document de planification qui renferme :
Une description de l’espèce et de ses besoins;
Les menaces pesant sur l’espèce et son habitat;
Les objectifs à atteindre en matière de population et de répartition de l’espèce en vue de son rétablissement;
La désignation de l’habitat essentiel d’une espèce, c’est-à-dire de l’habitat nécessaire à sa survie ou à son rétablissement et/ou un calendrier des études pour désigner l’habitat essentiel;
Les mesures générales permettant de freiner ou de renverser le déclin de l’espèce.
Étant donné que ce sont les provinces et les territoires qui sont chargés de la gestion du caribou boréal, plusieurs d’entre eux ont élaboré (ou sont en train d’élaborer) un programme de rétablissement ou un plan de gestion pour leur compétence. Le programme national de rétablissement tirera profit de cette expertise et offrira un cadre uniforme à l’échelle nationale pour la gestion et le rétablissement du caribou boréal partout au Canada. Environnement Canada travaillera en collaboration avec les provinces et les territoires afin d’élaborer le programme national de rétablissement et d’assurer une coordination avec les activités de rétablissement en cours.
Tous les caribous appartiennent à une seule espèce (Rangifer tarandus), même s’ils n’ont pas tous la même apparence, le même comportement ou le même habitat à l’échelle de leur aire de répartition en Amérique du Nord. Il existe plusieurs façons de classifier cette espèce très diversifiée. Le présent document utilise le même système de classification que celui utilisé par le COSEPAC. La classification reconnaît cinq sous-espèces de caribous reconnues au Canada, dont une qui est disparue :
Le caribou de Peary (Rangifer tarandus pearyi) vit uniquement dans les îles du Nunavut et des Territoires du Nord-Ouest, dans l’Extrême-Arctique; des quatre sous-espèces existantes, il s’agit de celle dont la taille est la plus petite.
Le caribou de la toundra (Rangifer tarandus groenlandicus) vit dans la toundra arctique, sur un territoire qui s’étend de l’ouest des Territoires du Nord-Ouest jusqu’à l’île de Baffin (Nunavut). Il s’agit de la plus abondante des sous-espèces au Canada. Elle se tient généralement en grands troupeaux qui migrent sur de longues distances de façon saisonnière.
Le caribou de Grant (Rangifer tarandus granti) vit principalement au Yukon et en Alaska. Cette sous-espèce comprend le troupeau de caribous de la Porcupine, qui est généralement bien connu.
Le caribou de Dawson (Rangifer tarandus dawsoni) est une sous-espèce disparue de caribou dont l’aire de répartition se limitait aux îles Haida Gwaii, en Colombie-Britannique. La dernière observation vérifiée remonte à 1908.
- Le caribou des bois (Rangifer tarandus caribou) vit dans la plupart des régions montagneuses boisées et des régions boréales du pays; des quatre sous-espèces existantes, il s’agit de celle dont la taille est la plus grosse. La plupart des caribous des bois vivant dans les régions boréales ne migrent pas sur de longues distances. Ils passent la plus grande partie de l’année dans la forêt, seuls ou en petits groupes. Toutefois, certains caribous des bois effectuent des migrations saisonnières importantes, notamment ceux qui vivent dans les régions montagneuses et dans les régions du nord du Manitoba, de l’Ontario, du Québec et du Labrador.
Caribou des bois (comprend le caribou boréal) - © Elston Dzus
Le caribou de la toundra et le caribou de Grant migrent en grands troupeaux
- © A. Gunn GNWT
Caribou de Peary - © John A. Nagy
Le COSEPAC a évalué cinq différentes populations de sous-espèces du caribou des bois au Canada. Le présent document met plus précisément l’accent sur la population boréale du caribou des bois (c’est-à-dire le caribou boréal). Les autres populations du caribou des bois évaluées par le COSEPAC, dont la population de la Gaspésie-Atlantique, la population de Terre-Neuve, la population des montagnes du Nord et la population des montagnes du Sud, ne font pas partie du processus carte 1).
Le caribou est un membre de taille moyenne de la famille des cervidés qui comprend quatre autres espèces indigènes du Canada : l’orignal, le cerf de Virginie, le cerf mulet et le wapiti. Le caribou est le seul cervidé dont le mâle et la femelle portent des bois une partie de l’année. À l’âge adulte, le caribou boréal possède un pelage brun foncé sur lequel contrastent l’encolure, la crinière et la croupe, toutes trois d’un blanc crémeux. Ses larges sabots en forme de croissant lui donnent un bon appui sur la neige et les surfaces meubles, en plus de lui permettre de gratter la neige pour se nourrir de lichens et d’autres végétaux. Comparativement au caribou de la toundra, les bois du caribou boréal sont plus épais et plus larges, et sa tête et ses pattes sont plus longues.
Le caribou boréal se trouve dans la forêt boréale de sept provinces et de deux territoires. La carte 1 illustre l’aire de répartition du caribou boréal. Le caribou boréal est présent uniquement au Canada.
Carte 1. Répartition actuelle des cinq populations du caribou des bois au Canada évaluées par le COSEPAC. La répartition actuelle est indiquée en vert. La ligne pointillée indique la limite sud estimée de la répartition historique du caribou des bois.
Le caribou boréal a su s’adapter à un écosystème forestier changeant, dont les incendies de forêt sont la principale cause de perturbation naturelle et de modification de l’habitat. Pour se maintenir, le caribou boréal a besoin :
d’un habitat convenable s’étendant sur une vaste superficie;
que les perturbations par l’homme soient réduites au minimum;
que le nombre de prédateurs (loup, ours) soit faible.
En général, l’habitat convenable du caribou boréal comprend les forêts de conifères matures et de vieux conifères situées en hautes ou en basses terres ainsi que les tourbières. Les lichens terrestres, qui représentent l’essentiel de son alimentation hivernale, s’y trouvent généralement en abondance. Pendant les périodes de l’année où le sol n’est pas couvert de neige, le caribou boréal se nourrit d’une plus grande variété de végétaux, notamment de plantes herbacées, de lichens et d’autres plantes couvre-sol.
Le caribou boréal a besoin d’un habitat qui s’étend sur de vastes superficies continues afin que les individus puissent se disperser dans toute leur aire de répartition. En se dispersant ainsi dans l’ensemble du paysage, le caribou boréal évite les contacts avec ses prédateurs. Il peut aussi réduire les contacts avec ses prédateurs en évitant les zones recherchées par le cerf et l’orignal, qui constituent des proies de prédilection des grands prédateurs. Les zones à éviter sont les régions déboisées et celles à dominance arbustive.
Quelles zones de votre région ont une importance particulière pour le caribou boréal?
Quel usage en fait-il? À quel moment de la journée, de la saison, de l’année?
Quels types de plantes et quelles caractéristiques du territoire sont utilisés par le caribou boréal?
De nombreuses menaces pèsent, directement ou indirectement, sur les populations locales du caribou boréal et leur habitat :
perte, dégradation et fragmentation de l’habitat;
prédation (principalement de la part du loup et de l’ours);
surexploitation (chasse, braconnage);
dérangement par le bruit et la lumière (provenant de l’industrie forestière, des exploitations pétrolières, gazières et minières, des vols à basse altitude, des motoneiges et des véhicules tout-terrains);
parasites et maladies;
changements météorologiques et climatiques.
Le caribou boréal est principalement menacé par des taux de prédation anormalement élevés en raison de la perte, de la dégradation et de la fragmentation de son habitat (la fragmentation de l’habitat continu en petites parcelles). Ces modifications de l’habitat ont plusieurs impacts sur le caribou boréal. Premièrement, la déforestation et la construction de routes pour les activités industrielles entraînent une réduction de la superficie et de la qualité de l’habitat disponible où le caribou boréal peut vivre et se reproduire. De plus, ces activités entraînent souvent une augmentation de la superficie des jeunes forêts, qui attirent les espèces comme le cerf, l’orignal et le wapiti, qui deviennent de plus en plus nombreux. L’augmentation du nombre de ces espèces entraîne à son tour un plus grand nombre de prédateurs comme le loup. Finalement, les modifications à grande échelle de l’habitat peuvent aussi affecter le caribou boréal en facilitant les déplacements de ses prédateurs (notamment le loup). La prédation accrue qui en résulte peut menacer sérieusement le caribou boréal en faisant subir un déclin aux populations.
Habituellement, les autres menaces énumérées ci-dessus ne sont pas celles qui menacent le plus le caribou boréal, même si certaines sont importantes dans des zones précises. La compréhension des menaces qui pèsent sur le caribou boréal dans votre région est essentielle afin de bien définir les mesures qui aideront au rétablissement ou au maintien des populations locales.
Connaissez-vous des menaces dans votre région que nous n’avons pas identifiées?
À votre avis, quelles sont les menaces qui, dans votre région, ont le plus d’impacts sur le caribou boréal? Pourquoi?
Quelles sont les activités ou les mesures qui ont été utilisées, ou qui pourraient être utilisées, afin d’atténuer les impacts de ces menaces?
Un programme de rétablissement définit les objectifs en matière de population et de répartition pour le rétablissement d’une espèce donnée. Ces objectifs permettent d’établir des cibles claires et mesurables en vue du rétablissement de l’espèce. Le fait d’avoir des cibles claires et mesurables permet de fournir des directives claires et d’augmenter les chances de rétablir l’espèce avec succès.
Pour le caribou boréal, les objectifs en matière de population et de répartition suivants servent de base aux discussions pendant les consultations :
maintenir les populations locales existantes qui sont autosuffisantes;
accroître les effectifs des populations locales qui ne sont pas autosuffisantes actuellement, dans la mesure du possible, dans toutes les provinces et tous les territoires où le caribou boréal vit actuellement.
Pour qu’une population soit autosuffisante, il faut :
qu’elle soit stable ou en croissance (plus de naissances que de décès);
qu’elle soit assez abondante pour survivre aux événements aléatoires (comme des conditions climatiques difficiles) et aux pressions exercées par l’homme;
qu’elle n’ait plus besoin de faire l’objet de mesures de rétablissement autres que la gestion continue de certaines activités affectant le caribou boréal (comme le développement industriel ou la chasse);
qu’elle persiste à long terme.
Croyez-vous qu’il soit possible de maintenir ou d’améliorer le niveau des populations du caribou boréal de votre région pour que celles-ci soient autosuffisantes? Croyez-vous que cela soit possible à l’échelle de leur aire de répartition actuelle?
Que pouvons-nous faire pour atteindre ces résultats?
Quels défis devrons-nous surmonter pour atteindre ces résultats?
Environnement Canada s’est engagé à élaborer un programme national de rétablissement du caribou boréal qui inclut la désignation de son habitat essentiel, dans la mesure du possible. Bien qu’une quantité considérable de renseignements existe sur les besoins du caribou en matière d’habitat, Environnement Canada ne dispose pas d’assez de renseignements pour désigner l’habitat essentiel du caribou boréal. Les renseignements que vous fournirez, principalement ceux qui portent sur les besoins du caribou en matière d’habitat et ceux liés aux objectifs en matière de population et de répartition, seront particulièrement importants pour la désignation de l’habitat essentiel du caribou boréal.
L’objectif de la désignation de l’habitat essentiel est de protéger cet habitat des activités humaines qui pourraient causer sa destruction. Une fois l’habitat essentiel désigné, le gouvernement fédéral doit en protéger les parties situées sur le territoire domanial. De plus, en vertu de la LEP, les provinces et les territoires doivent protéger efficacement les parties de l’habitat essentiel situées sur des terres non domaniales. Les mesures de protection peuvent prendre de nombreuses formes : l’interdiction de certaines activités, la mise en oeuvre de plans de gestion de l’habitat, l’établissement d’accords d’intendance, etc.
Pour mieux comprendre ce qui définit l’habitat essentiel du caribou boréal, Environnement Canada a procédé à un examen scientifique des besoins en matière d’habitat du caribou boréal. L’examen en question cherchait à définir l’habitat dont le caribou boréal a besoin pour que ses populations locales soient autosuffisantes. Des experts en biologie du caribou et en écologie du paysage se sont alors réunis et ont produit un avis scientifique sur les besoins en matière d’habitat essentiel du caribou boréal. Cet avis a été rendu public dans le document intitulé Examen scientifique aux fins de la désignation de l’habitat essentiel de la population boréale du caribou des bois (Rangifer tarandus caribou) au Canada. Ce document est disponible auprès d’Environnement Canada, ou en consultant le site Web Registre LEP. Un court résumé des constatations de l’examen scientifique est aussi disponible sur le site Web Registre LEP.
Voici quelques conclusions clés de l’examen scientifique :
Pour bien désigner l’habitat essentiel du caribou boréal, il vaut mieux tenir compte de tous les besoins en matière d’habitat du caribou dans toute l’aire de répartition de chaque population locale et non pas seulement des besoins liés à une partie de son cycle de vie ou à une période donnée de l’année, comme la mise bas ou l’hivernage.
Le caribou boréal a besoin de vastes parcelles d’habitat comportant un nombre naturellement peu élevé de prédateurs, en plus d’aires particulières pour les différentes étapes de son cycle de vie (se nourrir, mettre bas, élever les petits, hiverner, etc.). La gestion à l’échelle de l’aire de répartition aidera à s’assurer que les caractéristiques de l’espace et de l’habitat dont l’espèce a besoin sont maintenues.
Des activités peuvent avoir lieu dans l’habitat du caribou boréal sans menacer l’espèce, tant que leurs effets cumulatifs ne détruisent pas les attributs biologiques et physiques nécessaires à sa survie et à son rétablissement. L’examen scientifique décrit quelques-uns de ces attributs, et d’autres recherches scientifiques en cours permettront de mieux connaître ses besoins spécifiques en matière d’habitat ainsi que le niveau et le type de perturbation pouvant se produire dans l’aire de répartition d’une population sans compromettre son autosuffisance.
Les résultats de l’examen scientifique, les recherches scientifiques à venir ainsi que les connaissances des peuples autochtones, des gouvernements provinciaux et territoriaux et celles d’autres parties intéressées ou concernées seront utilisés pour mieux éclairer la désignation de l’habitat essentiel du caribou boréal en vertu de la LEP.
Pour élaborer le programme national de rétablissement du caribou boréal, Environnement Canada :
Recueillera de l’information sur les éléments clés du programme national de rétablissement en consultant les ministères provinciaux et territoriaux responsables de la conservation et de la gestion des ressources naturelles, les gouvernements, les organismes et les communautés autochtones, les gestionnaires des terres, les organismes environnementaux, l’industrie et toute autre partie intéressée;
S’assurera que les connaissances traditionnelles autochtones sur le caribou boréal contribueront au programme national de rétablissement;
Mènera des études scientifiques sur les besoins en matière d’habitat du caribou boréal;
Rédigera le programme national de rétablissement en collaboration avec les provinces, les territoires et les représentants autochtones des conseils de gestion des ressources fauniques qui sont habilités par un accord sur des revendications territoriales à exercer des attributions à l’égard d’espèces sauvages. Le programme national de rétablissement sera fondé sur les consultations, les connaissances traditionnelles autochtones et les études scientifiques portant sur les besoins en matière d’habitat du caribou boréal;
Établira des groupes consultatifs composés de membres d’organismes environnementaux, de l’industrie, d’organisations nationales autochtones et leur demandera de commenter l’ébauche du programme de rétablissement et de fournir des conseils à l’équipe de rédaction;
Affichera la version proposée du programme national de rétablissement dans le Registre public des espèces en péril au cours de l’été 2011 pour une période de commentaires de 60 jours.
consultez le Registre public des espèces en péril
ou
pour soumettre des commentaires sur les principaux éléments du programme national de rétablissement du caribou boréal, consultez le Registre public des espèces en péril
ou
communiquez avec l’informathèque d’Environnement Canada en composant le
1-800-668-6767
ou encore
écrivez-nous :
Gestionnaire, Gestion du rétablissement
Service canadien de la faune,
Environnement Canada
351, boulevard St-Joseph, 4e étage
Gatineau (Québec) K1A 0H3
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