Parc national des Mille-Îles : plan d’action proposé visant des espèces multiples (tableaux accessibles)

Tableau 1a : Espèces visées par le plan d’action du parc national des Mille–Îles
Espèce Nom scientifique Statut selon le COSEPAC Statut selon la LEP
Espèces pour lesquelles ce plan d’action est établi en vertu de la LEP
Carmantine d’Amérique Justicia americana Menacée Menacée
Noyer cendré Juglans cinerea En voie de disparition En voie de disparition
Airelle à longues étamines Vaccinium stamineum Menacée Menacée
Méné camus Notropis anogenus Menacée En voie de disparition

 

Tableau 1b : Espèces visées par le plan d’action du parc national des Mille–Îles
Espèce Nom scientifique Statut selon le COSEPAC Statut selon la LEP
Espèces inscrites dans la LEP dont le programme de rétablissement n’a pas encore été publié
Ginseng à cinq folioles Panax quinquefolius En voie de disparition En voie de disparition
Tortue mouchetée (population des Grands Lacs et du Saint-Laurent) Emydoidea blandingii Menacée Menacée
Paruline du Canada Cardellina canadensis Menacée Menacée
Engoulevent d’Amérique Chordeiles minor Menacée Menacée
Tortue musquée Sternotherus odoratus En voie de disparition En voie de disparition
Paruline à ailes dorées Vermivora chrysoptera Menacée Menacée
Couleuvre obscure (population des Grands Lacs et du Saint-Laurent) Pantherophis spiloides Menacée Menacée
Petit Blongios Ixobrychus exilis Menacée Menacée
Physconie pâle Physconia subpallida En voie de disparition En voie de disparition
Rainette faux-grillon de l’Ouest (population des Grands Lacs/Saint-Laurent et du Bouclier canadien) Pseudacris triseriata Menacée Menacée
Engoulevent bois-pourri Antrostomus vociferus Menacée Menacée

 

Tableau 1c : Espèces visées par le plan d’action du parc national des Mille–Îles
Espèce Nom scientifique Statut selon le COSEPAC Statut selon la LEP
Espèces préoccupantes inscrites dans la LEP
Méné d'herbe Notropis bifrenatus Préoccupante Préoccupante
Paruline azurée Setophaga cerulea En voie de disparition Préoccupante
Couleuvre mince (population des Grands Lacs) Thamnophis sauritus Préoccupante Préoccupante
Scinque pentaligne (population des Grands Lacs et du Saint-Laurent) Plestiodon fasciatus Préoccupante Préoccupante
Brochet vermiculé Esox americanus vermiculatus Préoccupante Préoccupante
Couleuvre tachetée Lampropeltis triangulum Préoccupante Préoccupante
Monarque Danaus plexippus Préoccupante Préoccupante
Tortue géographique Graptemys geographica Préoccupante Préoccupante
Faucon pèlerin (anatum/tundrius) Falco peregrinus anatum Préoccupante Préoccupante
Quiscale rouilleux Euphagus carolinus Préoccupante Préoccupante
Tortue serpentine Chelydra serpentine Préoccupante Préoccupante
Ketmie des marais Hibiscus moscheutos Préoccupante Préoccupante

 

Tableau 1d : Espèces visées par le plan d’action du parc national des Mille–Îles
Espèce Nom scientifique Statut selon le COSEPAC Statut selon la LEP
Espèces préoccupantes sur le plan de la conservation non inscrites dans la LEP actuellement (mais qui pourraient l’être dans l’avenir)
Anguille d’Amérique Anguilla rostrata Menacée Non inscrite
Hirondelle rustique Hirundo rustica Menacée Non inscrite
Goglu des prés Dolichonyx oryzivorus Menacée Non inscrite
Sturnelle des prés Sturnella magna Menacée Non inscrite
Pioui de l’Est Contopus virens Préoccupante Non inscrite
Petite chauve-souris brune Myotis lucifugus En voie de disparition Non inscrite
Grive des bois Hylocichla mustelina Menacée Non inscrite
Tableau 3: Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée Échéancier
COMMUNAUTÉ PALUSTRE
Tortue mouchetée, tortue musquée, Petit blongios 1 Panneau signalant l’habitat essentiel d’une espèce en péril et panneau d’interdiction d’embarcation motorisée installés à l’embouchure de la zone humide d’mportance peu après la désignation de l’habitat essentiel. Collaboration avec des partenaires pour controler l’accès des embarcations motorisées à l’embouchure de la zone humide d’mportance. Panneaux installés d’ici l’automne2015 si l’habitat essentiel est désigné. Mortalité causée par des embarcations (Environnement Canada, 2014c et 2014d, et 2011). 2015
Communauté palustre côtièreNote de bas de page 5 2 Éliminer de façon précoce l’invasion des milieux humides du parc par des plantes exotiques envahissantes prioritairesNote de bas de page 6. Empêcher les espèces envahissantes de s’établir dans les milieux humides du parc. Si une invasion est détectée de façon précoce (grâce à un programme de surveillance, des observations fortuites ou des signalements) et qu’il est possible d’éliminer la plante, les progrès seront déterminés par le nombre d’individus arrachés. Espèces exotiques et envahissantes (Environnement Canada, 2011, 2014b, 2014c, 2014d; Pêches et Océans Canada, 2012) Si une invasion est détectée, le site sera visité chaque année pendant au moins trois ans.
Communauté palustre côtière 3 Refaire le relevé des milieux humides de Skoryna et du chemin Escott pour déterminer si la tortue mouchetée est présente. Accroître la connaissance de la répartition des tortues dans le parc. Relevés effectués et données communiquées au Centre d’information sur le patrimoine naturel (CIPN). Collecte de données sur les populations de tortues, leur habitat et les menaces qui pèsent sur celles–ci Environnement Canada, 2011, 2014b, 2014c, 2014d; Pêches et Océans Canada, 2012). 2016
Ketmie des marais 4 Évaluer et éliminer les risques d’invasion par une plante exotique envahissante dans l’environnement immédiat des individus de la ketmie des marais. Réduire la menace d’invasion de la ketmie des marais par des espèces exotiques envahissantes. Diminuer le nombre d’individus ou la proportion de la superficie couverte par l’espèce exotique envahissante prioritaire à proximité de la ketmie des marais. Étudier la possibilité d’employer des pratiques exemplaires de gestion ou des méthodes connues de lutte contre l’envahissement du roseau commun (sous-espèce eurasienne) et de la quenouille glauque (Environnement Canada, 2013a).  Mettre en place ces pratiques où c’est faisable. 2019
Méné camus 5 Aider Pêches et Océans Canada (MPO) relativement à la signalisation de l’habitat essentiel dans le parc et dans le cadre de projets de recherche et d’inventaire. Accroître la sensibilisation du public à l’égard de l’habitat essentiel du méné camus et acquérir de nouvelles connaissances sur les populations de cette espèce. Installation de panneaux signalant l’habitat essentiel d’ici 2015. Soutien fourni au MPO sur le terrain pour la recherche menée dans le parc ou à proximité. 2-1. Coordination avec les autres équipes de rétablissement et les groupes pertinents (Pêches et Océans Canada, 2012). 2015

 

Tableau 3b : Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée Échéancier
COMMUNAUTÉ PALUSTRE
Tortue mouchetée, tortue musquée, petit blongios 1 Panneau signalant l’habitat essentiel d’une espèce en péril et panneau d’interdiction d’embarcation motorisée installés à l’embouchure de la zone humide d’mportance peu après la désignation de l’habitat essentiel. Collaboration avec des partenaires pour controler l’accès des embarcations motorisées à l’embouchure de la zone humide d’mportance. Panneaux installés d’ici l’automne 2015 si l’habitat essentiel est désigné. Mortalité causée par des embarcations (Environnement Canada, 2014a et 2014b). 2015
Communauté palustre côtièreNote de bas de page 5 2 Éliminer de façon précoce l’invasion des milieux humides du parc par des plantes exotiques envahissantes prioritairesNote de bas de page 6. Empêcher les espèces envahissantes de s’établir dans les milieux humides du parc. Si une invasion est détectée de façon précoce (grâce à un programme de surveillance de l’état, des observations fortuites ou des signalements) et qu’il est possible d’éliminer la plante, les progrès seront déterminés par le nombre d’individus arrachés. Espèces exotiques et envahissantes

(Environnement Canada, 2011; Environnement Canada, 2013a)
Si une invasion est détectée, le site sera visité chaque année pendant au moins trois ans.
Communauté palustre côtière 3 Refaire le relevé des milieux humides de Skoryna et du chemin Escott pour déterminer si la tortue mouchetée est présente. Accroître la connaissance de la répartition des tortues dans le parc. Relevés effectués et données communiquées au Centre d’information sur le patrimoine naturel (CIPN). Collecte de données sur les populations de tortues, leur habitat et les menaces qui pèsent sur celles–ci (Environnement Canada, 2014a). 2016
Ketmie des marais 4 Évaluer et éliminer les risques d’invasion par une plante exotique envahissante dans l’environnement immédiat des individus de la ketmie des marais. Réduire la menace d’invasion de la ketmie des marais par des espèces exotiques envahissantes. Diminuer le nombre d’individus ou la proportion de la superficie couverte par l’espèce exotique envahissante prioritaire à proximité de la ketmie des marais. Étudier la possibilité d’employer des pratiques exemplaires de gestion ou des méthodes connues de lutte contre l’envahissement du roseau commun (sous-espèce eurasienne) et de la quenouille glauque (Environnement Canada, 2013a). 2019
Méné camus 5 Aider Pêches et Océans Canada (MPO) relativement à la signalisation de l’habitat essentiel dans le parc et dans le cadre de projets de recherche et d’inventaire. Accroître la sensibilisation du public à l’égard de l’habitat essentiel du méné camus et acquérir de nouvelles connaissances sur l’espèce. Installation de panneaux signalant l’habitat essentiel d’ici 2015. Soutien fourni au MPO sur le terrain pour la recherche menée dans le parc ou à proximité. 2-1. Coordination avec les autres équipes de rétablissement et les groupes pertinents (Pêches et Océans Canada, 2012). 2015
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée Échéancier
COMMUNAUTÉ FORESTIÈRE
Airelle à longues étamines 6 Planter et maintenir deux nouvelles populations d’airelles et maintenir ou augmenter deux populations récemment plantées jusqu’à ce qu’elles soient autosuffisantes. Augmenter le nombre de populations d’airelles à longues étamines au Canada. (1) Nombre de nouvelles populations plantées. (2) Pour s’assurer que les populations persistent, le nombre de tiges, d’inflores-
cences et de baies sera compté.
Améliorer ou augmenter la taille des populations existantes (Agence Parcs Canada, 2010a). Une nouvelle population plantée en 2014–2015, et une autre en 2016. L’augmen-
tation à deux nouvelles populations plantées dépend du nombre de semis disponibles, et l’entretien est continu jusqu’à ce qu’il y ait auto-
ensemen-
cement (habitu-
ellement entre 2 et 5 ans).
Airelle à longues étamines 7 Éliminer toutes les plantes envahissantes dans une zone tampon d’un rayon de 50 m autour des airelles sur les îles Grenadier Ouest et Endymion d’ici 2018, et par la suite éliminer toutes les plantes envahissantes des propriétés du parc aux deux sites. Éliminer la menace d’espèces envahissantes à proximité de l’airelle à longues étamines sur les îles Grenadier Ouest et Endymion. Toutes les parcelles de plantes exotiques (y compris celles comptant un seul individu ou les zones plus larges) sont cartographiées (GPS) dans les deux sites d’ici 2016, et la taille des parcelles est réduite d’ici 2018. Les espèces envahissantes sont une menace de faible importance (Agence Parcs Canada, 2010a) 2018
Airelle à longues étamines 8 Continuer de collaborer avec les propriétaires fonciers privés pour cerner et atténuer les menaces aux populations situées à l’extérieur des limites du parc. Maintenir le partenariat avec l’unique propriétaire foncier privé de la seule population située sur un terrain privé au pays afin d’atténuer les menaces à l’espèce, au besoin. La population d’airelles à longues étamines sur un terrain privé demeure saine et viable. Continuer de collaborer avec le propriétaire foncier privé à l’intendance de la population située à l’extérieur des limites du parc (Agence Parcs Canada, 2010a). Permanent
Airelle à longues étamines 9 Modifier le tracé des sentiers loin des populations d’airelles à longues étamines sur l’île Grenadier Ouest et assurer le respect de la fermeture d’un tronçon de sentier. Fermeture d’un tronçon du sentier de l’île Grenadier Ouest qui traverse la population d’airelles à longues étamines d’ici l’automne 2014. Panneau installé de manière à fermer le tronçon du sentier. Planifier et rendre effective la modification du tracé des sentiers loin des populations d’airelles à longues étamines (Agence Parcs Canada, 2010a). Modification du tracé d’ici 2015, respect de la signalisation vérifié en continu.
Airelle à longues étamines 10 Collaborer avec les organismes américains pour obtenir plus d’information sur les populations de l’État de New York. Liste des sites connus et données sur la taille des populations de l’État de New York d’ici 2018. Données obtenues d’ici 2018. Collaboration avec les organismes américains pour obtenir plus d’information sur les populations de l’État de New York (Agence Parcs Canada, 2010a). 2018
Scinque pentaligne 11 Augmenter le nombre d’objets servant d’abri sur le mont Fitzsimmons. Microhabitat restauré sur le mont Fitzsimmons au plus tard à l’hiver 2014. Augmentation du nombre d’objets servant d’abri, du pourentage de la superficie servant d’abri et du nombre de scinques pentalignes sur les landes rocheuses du mont Fitzsimmons. Maintenir et, si possible, augmenter le nombre d’habitats et de microhabitats disponibles pour le scinque pentaligne (Environnement Canada, 2013b). 2016
Scinque pentaligne 12 Surveiller les répercussions du nouveau sentier de Landon Bay sur le scinque pentaligne. Surveiller l’utilisation et les effets possibles du nouveau sentier de Landon Bay après son ouverture afin d’intervenir en cas de menace accrue pour le scinque pentaligne. Répercussions possibles sur le scinque pentaligne recensées. Effectuer une analyse des menaces (loisirs) dans les sites prioritaires de l’ensemble de l’aire de répartition de la population (Environnement Canada, 2013b). Deux ans après l’ouverture du sentier de Landon Bay.

 

Tableau 3c : Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée Échéancier
COMMUNAUTÉS MULTIPLES
Tortue mouchetée, scinque pentaligne, couleuvre obscure 13 Augmenter la sensibilisation aux conséquences du braconnage (y compris l’échange d’information avec les partenaires) et assurer l’application des lois connexes. Participation des agents d’application de la loi au contrôle des menaces éventuelles en matière de braconnage, et messages diffusés concernant les conséquences du braconnage. Des agents d’application de la loi participent au besoin aux activités de contrôle et diffusent des messages aux partenaires et au public. S’assurer que les lois et les règlements existants sont respectés et accroître la sensibilisation afin de diminuer la capture de ces espèces (Environnement Canada, 2014a); promouvoir la conformité aux lois existantes (Environnement Canada, 2013b). Continu
TOUTES LES ESPÈCES 14 S’assurer que les ministères provinciaux, les offices de protection de la nature et les administrations municipales sont au courant des endroits où sont concentrées les espèces en péril, afin qu’ils en tiennent compte dans leurs plans d’aménagement du territoire. Participer à l’élaboration des projets de développement qui sont soumis par l’office de protection de la nature de la région de Cataraqui. Échanger des données sur les observations et l’emplacement des habitats vulnérables avec les partenaires en matière de conservation. Mise à jour annuelle de la base de données sur les espèces en péril par l’ajout de toute observation prioritaire (nouvelle zone, espèce très vulnérable, terre non située dans le parc vulnérable au dévelop-
pement) communiquée directement aux biologistes (spécialistes des EP) du ministère des Richesses naturelles de l’Ontario (MRNO).
Encourager la transmission de toutes les données sur toutes les espèces de tortues à la province (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c). Continu
TOUTES LES ESPÈCES 15 Collaborer avec les partenaires pour promouvoir la protection des habitats de dispersion clés des espèces. Travailler en partenariat avec le conseil d’intendance de Leeds et Grenville sur des enjeux liés à la sensibilisation concernant la couleuvre obscure et à la protection des espèces en péril. Tous les partenaires tiennent compte de l’écologie du paysage dans leurs décisions concernant les espèces en péril. Assister à des réunions avec les partenaires, faire participer les partenaires clés à la planification de la gestion des espèces en péril du parc. Fournir des conseils sur les initiatives. Promouvoir la protection des parcelles ou des réseaux d’habitats prioritaires avec l’aide de partenaires (municipalités, Conservation de la nature Canada, Parcs Ontario, conseils d’intendance), et faire des acquisitions, établir des ententes, des servitudes, etc. (Kraus et coll., 2010). Continu
Tableau 4a : Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles ou les partenaires uniquement si les ressources deviennent disponibles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée
COMMUNAUTÉ PALUSTRE
Toutes les tortues 16 Continuer d’étudier les zones où la mortalité des tortues est très élevée sur la promenade des Mille-Îles et trouver des mesures d’atténuation. Participer aux projets d’atténuation de la mortalité routière dirigés par des partenaires sur la promenade des Mille-Îles et la route 401. Comprendre clairement quelles sont les zones (ou déterminer si elles existent) où il est prioritaire d’investir dans des mesures d’atténuation de la mortalité routière. Un rapport dans lequel les zones névralgiques sont recensées est produit. Recenser les zones où le taux de mortalité routière est élevé et mettre en œuvre des mesures d’atténuation (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c).
Toutes les tortues 17 Sensibilisation du public pour aider à réduire la mortalité routière. Réduire la mortalité routière des tortues. Sensibilisation effectuée auprès de tous les visiteurs du parc. Repérer les secteurs où la mortalité routière est élevée. Élaborer, évaluer et, lorsque cela est possible, mettre en œuvre des mesures d’atténuation appropriées (p. ex. écopassages permettant aux animaux de traverser les routes) afin de réduire la mortalité routière dans ces secteurs (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c).
Toutes les tortues 18 Collaborer avec la Commission des parcs du Saint-Laurent pour s’assurer que les accotements de la promenade des Mille-Îles ne sont pas labourés après la ponte des oeufs de tortue. Les oeufs de tortue ne sont plus détruits par le labourage. Les lignes directrices en matière de labourage des accotements sont mises en œuvre. Élaborer et diffuser des pratiques de gestion bénéfiques (PGB) pour le grand public, les propriétaires fonciers, les gestionnaires de terres et l’industrie, ou utiliser des PGB existantes (et les améliorer, au besoin) (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c).
Toutes les tortues 19 Collaborer avec les partenaires pour atténuer la mortalité causée par les prises accidentelles dans des filets de pêche commerciale. Le taux de mortalité des tortues causée par les filets de pêche est réduit. Des mesures fructueuses d’atténuation de la mortalité nette sont élaborées et mises en œuvres dans tous les milieux humides (et les milieux riverains) fréquentés par les populations de tortues du PNMI à n’importe quel stade de leur cycle vital. Si possible, employer des techniques de réduction de la mortalité des tortues causée par la prise accidentelle dans des engins de pêche (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c).
Toutes les tortues 20 Diffuser des messages sur la sécurité des tortues aux plaisanciers dans les secteurs de l’île Grenadier Centre et de Mallorytown Landing. Promouvoir la sensibilisation et réduire la mortalité des tortues autour des quais. Des panneaux d’avertissement et d’interprétation sur les espèces en péril sont installés dans les secteurs de l’île Grenadier Centre et de Mallorytown Landing, et les interprètes intègrent de façon systématique des messages sur les tortues dans leurs visites. Repérer les secteurs où la mortalité causée par les embarcations à moteur est élevé. Élaborer, évaluer et, lorsque cela est possible, mettre en œuvre des mesures d’atténuation appropriées afin de réduire la mortalité dans ces secteurs (Environnement Canada, 2014a, 2014b, 2014c).
Communauté palustre côtière 21 Évaluer la viabilité d’une restauration du marais à l’état semi–émergent dans le complexe de milieux humides de Jones Creek. (1) Déterminer la viabilité et le bien–fondé de la restauration; (2) Si les critères sont respectés, réaliser la restauration du marais à l’état semi–émergent. Réalisation de l’évaluation de la viabilité et augmentation de la quantité de zones de marais à l’état semi–émergent dans le secteur de Jones Creek après la restauration. Évaluer différentes techniques et déterminer si elles sont réalisables et efficaces pour maintenir et créer des milieux humides ouverts, y compris les brûlages dirigés ou d’autres perturbations artificielles, dans l’aire de répartition canadienne de la ketmie des marais; mettre en œuvre les techniques appropriées lorsqu’elles sont réalisables (Environnement Canada, 2013a).
Communauté palustre côtière 22 Collaborer avec les partenaires pour évaluer la viabilité d’une restauration du marais à l’état semi–émergent dans la partie ouest de la baie Thompson (une importante composante du complexe de milieux humides de l’île Grenadier). (1) Déterminer la viabilité et le bien–fondé de la restauration; (2) Si les critères sont respectés et que le partenaire offre son soutien, réaliser la restauration du marais à l’état semi–émergent. Réalisation de l’évaluation de la viabilité et augmentation de la quantité de zones de marais à l’état semi–émergent dans le secteur de la baie Thompson après la restauration. Évaluer différentes techniques et déterminer si elles sont réalisables et efficaces pour maintenir et créer des milieux humides ouverts, y compris les brûlages dirigés ou d’autres perturbations artificielles, dans l’aire de répartition canadienne de la ketmie des marais; mettre en œuvre les techniques appropriées lorsqu’elles sont réalisables (Environnement Canada, 2013a).
Tortue musquée 23 Effectuer l’inventaire de la tortue musquée sur les terres du PNMI dans le secteur de Mallorytown Landing. La répartition de la tortue musquée est connue dans le secteur de Mallorytown Landing. Données recueillies et envoyées au CIPN. Aux fins de surveillance, recueillir des données sur la population et l’habitat de la tortue musquée ainsi que sur les menaces qui pèsent sur l’espèce (Environnement Canada, 2014b).
Petit blongios 24 Effectuer un relevé dans le milieu humide de la propriété Skoryna et refaire un relevé dans les milieux humides du parc pour déterminer ou confirmer la situation du petit blongios. La répartition du petit blongios dans le parc est établie. Le relevé du petit blongios dans la propriété Skoryna est réalisé et d’autres milieux humides prioritaires du parc font l’objet d’un nouveau relevé. Réaliser des relevés et des évaluations d’habitat dans les sites prioritaires conformément au programme de rétablissement du petit blongios (Environnement Canada, 2011).
Ketmie des marais 25 Réaliser un inventaire complet de la ketmie des marais sur les rivages sud et sud–ouest de l’île Main Duck. La répartition de la ketmie des marais est connue sur l’île Main Duck. Des données sont recueillies et envoyées au CIPN. Évaluer et surveiller la répartition, l’habitat et la taille des populations de la ketmie des marais ainsi que les tendances connexes (Environnement Canada, 2013a).
Méné d’herbe, méné camus et brochet vermiculé 26 Collaborer avec le MRNO, le MPO et les partenaires des universités pour établir un relevé du méné d’herbe, du méné camus et du brochet vermiculé dans le complexe de milieux humides de Jones Creek ainsi que les secteurs du ruisseau Brooker’s, de l’île Adelaide, de la partie est de l’île Hill, de la propriété Skoryna, du chemin Escott et de l’étang du ruisseau Polly. La répartition des espèces de poissons en péril du parc est établie. Réalisation de relevés dans les sept milieux humides et données communiquées au CIPN. Effectuer des relevés ciblés dans les sites nouveaux, présumés et anciens (Pêches et Océans Canada, 2012) sur les conseils du MPO.
Communauté palustre côtière 27 Préserver les forêts et les milieux humides adjacents aux importants milieux humides du PNMI où la tortue mouchetée, la tortue musquée et le petit blongios ont été observés, et collaborer avec les partenaires/
propriétaires fonciers pour promouvoir la préservation des forêts et milieux humides dans ces zones adjacentes.
Assurer un habitat terrestre convenable pour les espèces en péril des milieux humides. Atteindre le seuil d’habitat convenable (Zorn, 2012) pour chaque cycle de planification de gestion du parc. Pour les terres adjacentes : recenser les sites et les partenaires/propriétaires fonciers correspondants, et communiquer avec ces derniers. Protéger des zones suffisamment grandes pour maintenir des populations viables et augmenter la connectivité (Environnement Canada, 2014a, 2014b).
Tortue mouchetée 28 Créer un écopassage pour les tortues sous la route de comté 5 près du ruisseau Polly (lancer l’initiative en participant au processus de planification des ponceaux). Réduire la mortalité routière des tortues. Participation au processus de planification des ponceaux; écopassage créé sous la route de comté 5. Recenser les zones où la mortalité routière est élevée. Élaborer, évaluer et, lorsque cela est possible, mettre en œuvre des mesures d’atténuation appropriées (p. ex. écopassages permettant aux animaux de traverser les routes) afin de réduire la mortalité routière dans ces secteurs (Environnement Canada, 2014a).
Tortue mouchetée 29 Communiquer avec les propriétaires de terres adjacentes à celles du PNMI afin de promouvoir l’intendance et la protection des nids. Les propriétaires fonciers protègent les tortues et l’habitat des tortues. Messages continus aux propriétaires clés de terres adjacentes à celles du PNMI. Recenser les zones où la prédation sur les nids est élevée et employer, lorsqu’il est possible de le faire et que les permis appropriés sont obtenus, des techniques reconnues de protection des nids et de réduction de la prédation (Environnement Canada, 2014a).
Ketmie des marais 30 Dans la mesure du possible, augmenter la taille de la population de ketmie des marais à un niveau d’autosuffisance et de viabilité génétique. La taille de la population de ketmie des marais est augmentée à un niveau d’autosuffisance et de viabilité génétique tel que déterminé par des analyses génétiques et les caractéristiques du cycle vital. La faisabilité de l’augmentation de la taille de la population est déterminée et la taille de la population est augmentée. S.O.

 

Tableau 4b : Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles ou les partenaires uniquement si les ressources deviennent disponibles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée
COMMUNAUTÉ FORESTIÈRE
Noyé cendré 31 Recenser les problèmes de chancre et évaluer l’état de tous les noyers cendrés du parc; recueillir des semences d’arbres potentiellement résistants et communiquer au groupe de travail sur le noyer cendré les données sur les arbres résistant au chancre, ou recenser les sites qui favorisent le recrutement localisé et la résistance au chancre. Créer une banque de semences d’arbres résistant au chancre dans le parc. Pourcentage d’arbres inspectés quant à la présence de chancre. Repérer et surveiller les arbres considérés comme résistants; coordonner un programme de collecte de semences d’arbres résistants; entreposer les semences et le matériel génétique des arbres résistants (Environnement Canada, 2010).
Airelle à longues étamines 32 Collaborer avec la réserve de la biosphère de l’Arche-de-Frontenac, la Commission des parcs du Saint-Laurent et la Commission des parcs du Niagara pour repérer et protéger l’habitat éventuel de dispersion de l’espèce. S’assurer que l’habitat existe pour appuyer les populations futures d’airelle à longues étamines. L’habitat convenable est repéré et protégé sur les terres adjacentes au parc. Intégrer le rétablissement de l’airelle à longues étamines aux activités de rétablissement de la forêt/savane de chênes que réalise la Commission des Parcs du Niagara (Parcs Canada, 2010a).
Airelle à longues étamines 33 Collaborer avec les partenaires afin de déterminer les conditions requises pour l’établissement des semis et le maintien de l’habitat, y compris l’effet du feu, les caractéristiques du cycle vital, la pollinisation et les vecteurs de dispersion. Gérer efficacement l’habitat de l’airelle à longues étamines dans le parc. Les mesures de recherche établies dans le programme de rétablissement de l’airelle à longues étamines sont mises en œuvre. Recueillir et cultiver une réserve de boutures et de semences provenant des deux régions (en cours); continuer à élaborer et à améliorer un modèle d’habitat pour l’airelle à longues étamines en y intégrant l’historique des feux et des autres facteurs liés au cycle vital et au paysage à mesure qu’ils deviennent disponibles (Parcs Canada, 2010a).
Scinque pentaligne 34 Terminer le projet d’indice de qualité de l’habitat du scinque pentaligne et effectuer l’inventaire de tous les nouveaux terrains pouvant renfermer un habitat convenable afin de déterminer la répartition de l’espèce dans le parc. Déterminer la zone d’occupation de l’habitat convenable dans le parc. Indice de qualité de l’habitat établi et inventaire réalisé dans le parc. Réaliser des relevés du scinque pentaligne dans les sites prioritaires ainsi que des études sur l’utilisation de l’habitat, les déplacements types et la capacité de dispersion, afin d’obtenir de meilleures données à l’échelle des populations, et déterminer quelles occurrences d’élément sont viables (Environnement Canada, 2013b).
Scinque pentaligne 35 Collaborer avec les chercheurs pour établir la dynamique des populations de scinques, y compris l’inventaire et la viabilité (nombre d’individus) des populations et les liens entre les différentes observations. En apprendre davantage au sujet du scinque pentaligne dans la région afin de déterminer les meilleures façons de protéger les populations et de favoriser leur rétablissement. (1) Inventaires réalisés. (2) Viabilité des populations évaluée. (3) Compréhension des liens entre les populations du parc établie. Réaliser des relevés du scinque pentaligne dans les sites prioritaires ainsi que des études sur l’utilisation de l’habitat, les déplacements types et la capacité de dispersion, afin d’obtenir de meilleures données à l’échelle des populations, et déterminer quelles occurrences d’élément sont viables (Environnement Canada, 2013b).
Scinque pentaligne 36 Évaluer l’état des habitats actuellement occupés et déterminer s’il est nécessaire de réintroduire le feu ou d’interrompre la succession dans les habitats prioritaires. Déterminer si les restaurations entraînant une perturbation sont nécessaires pour les populations du parc. Pratiques exemplaires de gestion élaborées pour l’habitat du scinque. Élaborer et mettre en œuvre des lignes directrices sur la conservation de l’habitat (Environnement Canada, 2013b).
Couleuvre obscure 37 Mener des études par télémesure sur les propriétés terrestres afin de repérer de nouveaux gîtes d’hibernation. Repérer tous les gîtes d’hibernation sur les propriétés terrestres. Données consignées et communiquées au CIPN. Préciser les caractéristiques de l’habitat essentiel associées à des stades précis du cycle vital (Kraus et coll., 2010).
Couleuvre obscure 38 Collaborer avec les partenaires pour déterminer l’emplacement des gîtes d’hibernation et maintenir ou améliorer la connectivité avec les gîtes d’hibernation adjacents, lorsque le recrutement de juvéniles est nécessaire pour préserver les populations du PNMI (y compris les populations américaines - en particulier celle de l’île Wellesley). Avec l’aide de partenaires, assurer le maintien des gîtes d’hibernation et la connectivité avec les gîtes adjacents aux propriétés du parc. Maintien de relations continues avec les partenaires afin d’échanger de l’information sur les populations et les pratiques exemplaires de gestion. Déterminer comment la connectivité génétique entre les sous–populations est maintenue, ce qui comprend l’importance relative des différents mécanismes, comme la dispersion des juvéniles, la dispersion des adultes et la paternité multiple (Kraus et coll., 2010).

Promouvoir la protection des parcelles ou des réseaux d’habitats prioritaires avec l’aide de partenaires (municipalités, Conservation de la nature Canada, Parcs Ontario, conseils d’intendance), et faire des acquisitions, établir des ententes, des servitudes, etc. (Kraus et coll., 2010).
Couleuvre obscure 39 Travailler avec les partenaires pour protéger de vastes corridors qui facilitent les liaisons génétiques à court et à long terme au sein de la population de l’arche de Frontenac. D’importants corridors pour la couleuvre obscure sont maintenus pour la population de l’arche de Frontenac (acquisitions faites par des partenaires, aménagement approprié du territoire ou activités d’intendance des propriétaires privés). L’aménagement du territoire, les activités d’intendance des propriétaires privés ou les acquisitions faites par des partenaires tiennent compte de la couleuvre obscure et contribuent à la protection des corridors. Promouvoir la protection des parcelles ou des réseaux d’habitats prioritaires avec l’aide de partenaires (municipalités, Conservation de la nature Canada, Parcs Ontario, conseils d’intendance), et faire des acquisitions, établir des ententes, des servitudes, etc. (Kraus et coll., 2010).
Couleuvre obscure 40 Acquérir des terrains prioritaires pour relier plus de gîtes d’hibernation ou travailler avec d’autres partenaires (p. ex. des fiducies foncières) pour protéger les principaux corridors de liaison. Acquérir des terres à ajouter au parc afin de favoriser le rétablissement de la couleuvre obscure. Des terres susceptibles de contribuer aux efforts de rétablissement sont acquises lorsque l’occasion se présente. Promouvoir la protection des parcelles ou des réseaux d’habitats prioritaires avec l’aide de partenaires (municipalités, Conservation de la nature Canada, Thousand Islands Watershed Land Trust, Parcs Ontario, conseils d’intendance), et faire des acquisitions, établir des ententes, des servitudes, etc. (Kraus et coll., 2010).
Couleuvre obscure 41 Collaborer avec les partenaires pour améliorer la diffusion et l’évaluation des messages d’intendance (y compris la traduction des ressources en matière de communication des partenaires). Améliorer l’efficacité des messages de sensibilisation sur la couleuvre obscure. Les messages d’intendance sont améliorés et évalués avec les partenaires du parc pour mieux appuyer les agents de communication du parc et des partenaires. Élaborer un plan de communication dont les publics cibles comprennent les propriétaires fonciers, les planificateurs de l’utilisation du territoire, les gestionnaires de ressources naturelles et d’autres intervenants concernés (Kraus et coll., 2010). Élaborer une stratégie d’exécution d’un programme de communication destiné aux écoles appropriées, aux conseils d’intendance, aux associations de propriétaires de chalets, etc. (Kraus et coll., 2010). Planifier et élaborer des documents de mise en valeur des ressources destinés à des publics adultes que pourront utiliser les bénévoles affectés à la diffusion externe (Kraus et coll., 2010).
Couleuvre obscure 42 Diffuser des messages d’interprétation (décourageant la persécution des serpents et favorisant leur appréciation) à tous les groupes scolaires de la région de l’écosystème des Mille–Îles visitant le PNMI. Améliorer le respect à l’égard des serpents chez les jeunes de la région. Des messages décourageant la persécution des serpents et favorisant leur appréciation sont diffusés à tous les groupes scolaires de la région visitant le parc. Élaborer (ou améliorer) et diffuser des trousses éducatives et des plans de leçons pour les écoles se trouvant dans l’aire de répartition de la couleuvre obscure et d’autres districts scolaires ciblés (Kraus et coll., 2010).

 

Tableau 4c : Mesures de rétablissement qui seront prises par le parc national des Mille–Îles ou les partenaires uniquement si les ressources deviennent disponibles.
Espèce Numéro de la mesure Mesure Résultat visé Mécanismes de mesure des progrès vers l’atteinte des objectifs Menace ou mesure de rétablissement abordée
INTERCOMMUNAUTAIRE
Ginseng à cinq folioles, paruline azurée, râle élégant, petite chauve–souris brune, rainette faux-grillon de l’Ouest 43 Réaliser des inventaires dans le parc. Établir la répartition des espèces en péril dans le parc afin de protéger les individus et leur habitat. Données consignées et transmises au CIPN. S.O.
Tortue serpentine, grive des bois, pioui de l’Est, hirondelle rustique, rainette faux-grillon de l’Ouest 44 Effectuer des relevés de l’abondance pour les nouvelles espèces inscrites et encore communes afin d’établir une base de référence pour les efforts de restauration futurs. Établir une base de référence pour la surveillance des espèces en péril. Des relevés de l’abondance sont réalisés pour cinq espèces qui sont encore communes sur les propriétés du parc afin de fournir une base d’information pour les travaux futurs de restauration. S.O.
TOUTES LES ESPÈCES 45 Dès que l’occasion se présente, acquérir des propriétés adjacentes aux terres du PNMI, et se concentrer sur les propriétés importantes pour les espèces en péril. Le territoire du parc est agrandi par l’ajout de terres profitables pour les espèces en péril. Les espèces en péril sont prises en compte dans l’acquisition de terres. Perte, dégradation et modification de l’habitat (Environnement Canada, 2010, 2011; Pêches et Océans Canada, 2012; Agence Parcs Canada, 2011).
TOUTES LES ESPÈCES 46 Intégrer le savoir traditionnel autochtone aux plans et aux mesures de rétablissement des espèces en péril. Intégration du savoir traditionnel autochtone aux mesures de rétablissement des espèces en péril dans le PNMI. 1. Élaborer des fiches de renseignements sur le savoir traditionnel pour les EP inscrites se trouvant dans le parc.

2. Déterminer le contenu et le format de ces feuilles de travail en tenant un atelier conjoint.

3. Établir des modèles de qualité de l’habitat ou des produits d’information semblables.
S.O.

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